2. Mémoire de l’eau et physique quantique
·
Théorie de la mémoire de l'eau :
Des chercheurs comme Jacques Benveniste, Luc Montagnier et d'autres ont
exploré la théorie selon laquelle l'eau pourrait conserver une "mémoire"
des substances qui y ont été dissoutes, même après de nombreuses
dilutions, un phénomène qui pourrait être expliqué par des processus
quantiques. Si cette théorie, souvent associée à l’homéopathie, était
validée à un niveau quantique, cela remettrait potentiellement en cause
certaines bases de la virologie moderne.
·
Émissions électromagnétiques et structures de l’eau :
Luc Montagnier a suggéré que des signaux électromagnétiques pourraient
être émis par l’ADN à de très hautes dilutions, et que ces signaux
pourraient affecter la structure de l'eau et le comportement biologique.
Si des informations virales ou biologiques peuvent être transmises par des
mécanismes quantiques, cela pourrait redéfinir notre conception de la
contagion et du rôle des virus dans les maladies.
3. Bioélectromagnétisme et théorie de la contagion
·
Bioélectromagnétisme :
La physique quantique a également donné naissance à des hypothèses sur le
rôle des champs électromagnétiques dans la régulation des processus
biologiques. Certains chercheurs dans ce domaine (comme Georges Lakhovsky
ou même plus récemment Martin Pall) ont avancé que les champs
électromagnétiques pourraient jouer un rôle crucial dans la santé et la
maladie, modifiant ainsi le rôle traditionnel attribué aux virus comme
agents infectieux uniques.
·
Coopération cellulaire :
Si les cellules communiquent entre elles par des mécanismes quantiques ou
des champs d’information électromagnétiques subtils, les modèles actuels
de contagion virale, basés sur la transmission de particules matérielles,
pourraient être incomplets. Cela soulèverait la question de savoir si
l'environnement énergétique ou informationnel joue un rôle clé dans la
manifestation de maladies, avec les virus agissant davantage comme des
"symptômes" ou des "agents catalyseurs" plutôt que des causes
premières.
4. Résonance quantique et biologie
·
Résonance :
Un des concepts centraux de la physique quantique est celui de la
résonance entre les particules et les champs. Il est possible que les
virus ne soient pas les seuls agents actifs dans la propagation des
maladies, mais qu’ils agissent en conjonction avec des champs
électromagnétiques ou d’autres facteurs quantiques. Ainsi, la propagation
de maladies pourrait être influencée par des fréquences électromagnétiques
qui affectent les cellules humaines de manière collective.
·
Perturbations énergétiques et systèmes immunitaires :
Si les systèmes biologiques sont affectés par des perturbations dans des
champs énergétiques ou des fluctuations quantiques, cela pourrait
signifier que les maladies infectieuses ne sont pas uniquement dues à la
présence d'un virus, mais aussi à des changements dans l'état énergétique
global d'une personne ou d'une population. Cela pourrait changer notre
compréhension du "terrain" sur lequel les maladies émergent, un concept
souvent débattu dans l'histoire de la médecine entre la théorie des germes
et celle du terrain.
5. Implications sur la causalité
·
Défi à la causalité linéaire :
La physique quantique, en particulier à travers les concepts
d'indétermination et de superposition, remet en cause la causalité
linéaire, qui est une pierre angulaire des modèles scientifiques
classiques, y compris en virologie. Si les processus biologiques suivent
des principes quantiques, alors la simple causalité "virus provoque
maladie" pourrait être une simplification excessive. Il pourrait exister
des interactions plus complexes, où l’information (quantique ou
électromagnétique) influence le comportement des cellules ou des
organismes, avec les virus jouant un rôle partiel ou même
secondaire.
Conclusion
La physique quantique, en raison de ses principes tels que la
non-localité, la superposition, et l'indétermination, offre un cadre
théorique qui pourrait remettre en question ou compléter certains aspects
de la thèse virale traditionnelle. Si les phénomènes biologiques sont
influencés par des processus quantiques, cela pourrait transformer notre
compréhension de la contagion et des maladies infectieuses. Les virus
pourraient être vus non comme des agents pathogènes directs,
mais comme des éléments d'un système plus vaste et plus complexe,
influencé par des facteurs électromagnétiques, environnementaux et même
quantiques.
Bien que ces idées restent pour l'instant en dehors du
consensus scientifique dominant, elles ouvrent la voie à de nouvelles hypothèses et explorations qui
pourraient redéfinir notre manière de concevoir la maladie, la contagion
et la santé.
Le virus pourrait-il être alors une information présente dans l'eau du
corps ?
L'idée selon laquelle un virus pourrait être interprété non pas
uniquement comme une entité physique mais comme une
information présente dans l'eau du corps s'inscrit dans des
hypothèses radicales qui remettent en question la conception biologique
traditionnelle des virus. Cette perspective trouve certaines racines dans
les théories de la mémoire de l'eau, des processus électromagnétiques et
même des principes quantiques. Bien que spéculative et encore peu connue,
elle soulève des questions intéressantes sur le rôle de l’information dans
les processus biologiques.
1. La théorie traditionnelle des virus
·
Dans la virologie classique, un virus serait une particule composée de
matériel génétique (ADN ou ARN) entouré d'une enveloppe de protéines. Il
infecterait des cellules en se répliquant à l'intérieur de celles-ci et en
utilisant leur machinerie pour produire de nouveaux virus. Ce modèle est
présenté comme étant basé sur des preuves empiriques. Cependant, l'observation directe des virus au microscope
électronique n'a pas permis de confirmer formellement leur rôle dans la
transmission de maladies.
·
Selon ce modèle, un virus serait une entité matérielle concrète qui
interagirait physiquement avec les cellules de l'hôte, provoquant des
réactions biologiques spécifiques, notamment l'infection et la production
de réponses immunitaires.
2. L'idée du virus comme information
L’hypothèse selon laquelle un virus pourrait être principalement
une forme d’information plutôt qu'une particule physique repose sur
des théories récentes. Voici quelques idées et concepts qui pourraient
éclairer cette hypothèse :
Mémoire de l'eau
·
Mémoire de l'eau :
L’idée, avancée par Jacques Benveniste et poursuivie plus tard par Luc
Montagnier, est que l'eau pourrait "mémoriser" les propriétés d'une
substance dissoute, même lorsque cette substance est diluée au point où il
ne reste aucune molécule d'origine. Dans ce cadre, il est possible
d’imaginer que l’eau dans le corps pourrait "mémoriser" la présence ou la
structure d'un virus, même si celui-ci est absent en tant que particule
matérielle identifiable.
·
Si l’eau dans le corps peut conserver une trace électromagnétique ou
informationnelle d’un virus, cette "information" pourrait affecter le
comportement des cellules sans que le virus lui-même ait besoin d'être
présent physiquement.
Luc Montagnier et les signaux électromagnétiques
·
Travaux de Luc Montagnier :
Montagnier a proposé que certains fragments d'ADN, même à des dilutions
extrêmes, puissent émettre des signaux électromagnétiques capables de
moduler l'environnement biologique. Cela signifierait que l'information
portée par l'ADN ou l'ARN d’un virus pourrait être transmise non seulement
par des particules virales elles-mêmes, mais aussi par des signaux
électromagnétiques dans l'eau ou dans l'environnement cellulaire. Si tel
était le cas, un virus pourrait être perçu davantage comme une
signature électromagnétique ou informationnelle plutôt qu'un simple
agent infectieux physique.
Biologie quantique
·
Rôle des processus quantiques :
La biologie quantique explore comment des processus à l'échelle quantique
pourraient jouer un rôle dans les mécanismes biologiques, notamment au
niveau de la communication entre cellules et molécules. Si les
interactions dans le corps suivent des règles quantiques, il est
concevable que l’information virale puisse être transmise non pas
simplement par des particules physiques, mais par des
champs d’information ou des
fréquences électromagnétiques qui interagiraient avec les cellules
de manière non matérielle.
·
Ainsi, le virus pourrait être autre chose qu'une particule
biologique
(isolée), Il serait alors
une influence quantique ou énergétique dans le corps,
capable de modifier l'état des cellules sans interaction physique
directe.
3. Hypothèse du "terrain" et rôle de l'eau
·
Théorie du terrain versus théorie des germes :
Depuis Pasteur, la science dominante a favorisé la théorie
des germes, qui postule que les micro-organismes, y compris les virus,
sont les principales causes des maladies infectieuses. C'est en tout cas
le consensus scientifique dominant. Cependant, d’autres théories, comme celles de Antoine Béchamp ou
Günther Enderlein, suggèrent que l'état du terrain (l'environnement
interne du corps) détermine la susceptibilité à la maladie. Selon cette
perspective, les virus ne seraient pas les causes directes des maladies,
mais des agents opportunistes activés par des déséquilibres internes, tels
que des modifications dans la qualité de l'eau du corps.
·
L’eau dans le corps :
L'eau représente 60 % à 70% du corps humain et est un composant essentiel
des cellules et des processus biologiques. Puisque l’eau possède des
propriétés qui vont au-delà de son rôle simple de solvant, elle peut
stocker ou transmettre de l’information ; elle peut donc jouer un
rôle clé dans la manière dont les virus ou d'autres informations
biologiques affectent le corps. Cela correspond à l'idée que l’eau peut
contenir une
information virale ou une signature énergétique qui influence les
cellules et les processus biologiques.
4. Implications de cette hypothèse
·
Nouvelle approche de la santé et des maladies :
L’idée que les virus puissent être vus comme des informations, plutôt que
comme des particules, transforme la compréhension de la propagation des
maladies infectieuses. La transmission d'une maladie ne dépend plus
seulement du contact avec des particules virales physiques, mais peut
impliquer des champs énergétiques ou informationnels présents dans l'eau
ou dans l’environnement biologique.
·
Traitements alternatifs :
Cela peut également ouvrir la voie à des approches thérapeutiques basées
sur la modification de l'état informationnel ou énergétique de l'eau dans
le corps. Des thérapies comme l’homéopathie, qui repose en partie sur la
mémoire de l’eau, ou des techniques électromagnétiques, peuvent recevoir
plus d’attention dans ce cadre.
5. Controverses et limites
·
Validité scientifique :
Cette approche reste non explorée par la science traditionnelle, qui n’a
pas encore pris en compte la physique quantique dans le champ de la
biologie. La mémoire de l'eau, explorée par des scientifiques comme
Benveniste et Montagnier, n'a pas été suffisamment prise en compte par la
communauté scientifique dominante. L’idée que des signaux
électromagnétiques ou des processus quantiques puissent être impliqués
dans la transmission physique de particules virales n’a pas encore été
intégrée dans la recherche "traditionnelle".
·
Résistance des scientifiques :
Ces hypothèses sont intéressantes. Malheureusement, elles se heurtent à la
"résistance" des scientifiques trop attachés aux connaissances acquises
pour remettre en cause la science biologique conventionnelle.
Conclusion
L’idée que le virus puisse être considéré comme une
information présente dans l'eau du corps, plutôt qu'une simple
particule biologique physique, remet en question la virologie
traditionnelle et ouvre des perspectives sur des mécanismes plus subtils
et complexes de la transmission des maladies. Cette hypothèse repose sur
des théories comme la mémoire de l'eau et les interactions
électromagnétiques ou quantiques dans les processus biologiques. Cette
approche remet en cause le modèle viral conventionnel, insuffisamment pris
en compte dans la recherche "traditionnelle" qui a du mal à actualiser les
connaissances pasteuriennes.
C’est regrettable, car cette approche invite à explorer de nouvelles
voies de recherche et à repenser notre compréhension des maladies et de la
santé sous un angle plus large et potentiellement révolutionnaire.
À propos de consensus scientifique, ce concept peut-il exister ?
Le concept de consensus scientifique est complexe et souvent mal
compris. En théorie, un consensus scientifique représente un large accord
parmi les scientifiques sur un sujet, basé sur l'accumulation de preuves
disponibles à un moment donné. Cependant, ce consensus n'est ni
monolithique ni immuable. Voici quelques réflexions sur le consensus
scientifique et ses limites :
1. Nature du consensus scientifique
· Accord provisoire
: Le consensus scientifique n'est jamais une vérité absolue, mais plutôt
l'état d'accord général dans une discipline à un moment donné. Il se fonde
sur les preuves disponibles et peut évoluer à mesure que de nouvelles
découvertes sont faites. Par exemple, le consensus autour de la théorie de
l'évolution ou de la relativité générale repose sur des preuves solides,
mais pourrait être modifié ou affiné si de nouvelles données le
justifient.
·
Fondé sur la preuve
: Un consensus scientifique est généralement le résultat de la convergence
de nombreuses études indépendantes, utilisant des méthodologies
rigoureuses. Les scientifiques qui participent à ce consensus examinent et
testent des hypothèses, des théories et des modèles avant de parvenir à
des conclusions communes.
2. Consensus ne signifie pas unanimité
·
Présence de voix dissidentes
: Même lorsqu'un consensus est établi, il peut toujours y avoir des
scientifiques qui contestent certaines conclusions. Ces dissidents peuvent
parfois poser des questions légitimes qui conduisent à des avancées
importantes, mais dans d'autres cas, ils peuvent se trouver en dehors des
preuves actuelles. Par exemple, il existe des chercheurs qui contestent
encore certaines théories bien établies, comme le changement climatique
anthropique, malgré un large consensus scientifique sur la question.
·
Exemples historiques
: Dans l'histoire des sciences, il y a eu plusieurs cas où un consensus
scientifique a été renversé par de nouvelles découvertes. L'exemple
classique est la transition de la théorie géocentrique (la Terre au centre
de l'univers) à la théorie héliocentrique (le Soleil au centre), avec les
travaux de Copernic, Galilée et Kepler. Cela montre que le consensus
scientifique est souvent révisable, et non gravé dans le marbre.
3. Rôle de la méthode scientifique
·
Ouverture à la falsification
: Le consensus scientifique repose sur la méthode scientifique, qui inclut
la possibilité de falsification. Cela signifie que même les théories les
plus solidement établies peuvent être remises en question si de nouvelles
preuves apparaissent. Les paradigmes scientifiques changent rarement, mais
lorsque c'est le cas, cela reflète un véritable progrès dans la
compréhension du monde.
·
Importance de la reproductibilité
: Pour qu'un consensus émerge, les résultats scientifiques doivent être
reproductibles et confirmés par plusieurs études indépendantes. Ce
processus long et rigoureux garantit que le consensus n'est pas basé sur
des idées arbitraires ou non fondées.
4. Facteurs influençant le consensus
·
Facteurs non scientifiques
: Dans certains cas, des facteurs économiques, politiques ou sociaux
peuvent influencer le degré de consensus sur certaines questions
scientifiques. Par exemple, les débats autour du tabac dans les années
1960 ou du changement climatique aujourd'hui sont marqués par des
pressions externes, y compris des lobbies industriels ou politiques, qui
peuvent retarder l'acceptation d'un consensus malgré des preuves
scientifiques solides.
·
Différentes disciplines, différents consensus
: Certains domaines, comme la physique ou la chimie, tendent à produire
des consensus plus stables, car leurs résultats peuvent souvent être
confirmés par des mesures et des expériences précises. En revanche, dans
des domaines comme la médecine ou la biologie, où les systèmes sont plus
complexes et variés, les consensus peuvent être plus difficiles à
atteindre et plus susceptibles de changer avec le temps.
5. Limites du consensus scientifique
·
Incertain par nature
: La science avance souvent dans un cadre d'incertitude. Même dans des
domaines où il existe un large consensus, des marges d'incertitude
subsistent. Par exemple, dans le cas du changement climatique, les
scientifiques sont unanimes quant à la réalité du réchauffement climatique
d'origine humaine, mais il y a encore des débats sur l'ampleur précise et
les effets à long terme.
·
Possibilité d'anomalies
: Les consensus peuvent parfois ignorer des "anomalies" ou des résultats
qui ne s'intègrent pas bien dans les théories dominantes. Dans certains
cas, ces anomalies mènent à des révolutions scientifiques (comme les
travaux de Louis Pasteur ou d'Albert Einstein). Les voix dissidentes
peuvent ainsi jouer un rôle crucial en questionnant le statu quo.
Conclusion : Le consensus scientifique n'est qu'un cadre évolutif…
Le consensus scientifique est une représentation de l'état actuel des
connaissances fondées sur des preuves et des méthodologies rigoureuses.
Bien qu'il soit nécessaire pour guider les politiques publiques,
l'enseignement et la recherche, il n'est jamais immuable ni incontesté. Il
reflète le meilleur savoir disponible à un moment donné, mais la science
elle-même étant dynamique, ce consensus est susceptible d’évoluer avec de
nouvelles données.
Ainsi, un consensus scientifique peut exister, mais il doit toujours être
considéré comme une étape dans une compréhension plus vaste et plus
approfondie du monde, ouverte à des révisions ou des remises en question
lorsque des preuves solides justifient un changement.
Consensus – vérité/croyance en science.
-
Un consensus dit "scientifique" n’est jamais universel.
-
Pour être scientifiques, le doute et la mise en cause d’une
croyance/vérité doivent répondre aux exigences de la
preuve validée par une démarche scientifique… jusqu'à preuve d'une
nouvelle croyance/vérité qui invalide.la première…
-
Toute croyance/vérité scientifique n’est donc vraie que
tant qu’elle n’est pas invalidée par une nouvelle
croyance/vérité admise par un nouveau consensus.
Sources :
1.
INSERN – Science, vérité et croyances – Andreas Bikfalvi
2.
Géoconfluences (JBB) mars 2021 – Consensus et vérité en science