Le projet de construction d'un nouveau pont à Céret a été rejeté par la préfecture des Pyrénées-Orientales le 29 août 2024.
La décision s'appuie sur plusieurs avis défavorables :
Absence de démonstration claire de l'utilité publique majeure du projet.
Avis défavorable du Conseil national de protection de la nature et du
ministère de la Transition écologique. Les raisons principales incluent la
protection de deux espèces menacées, la loutre d'Europe et l'Emyde lépreuse.
« Contrairement à l’ensemble de la population, je ne suis pas transhumanisé par le biais d’un smartphone à la con, véritable espion portatif déversant en permanence le mensonge officiel. Je regarde donc encore le ciel et les petits oiseaux. Ce qui se passe dans le firmament n’est pas beau à voir. C’est franchement vilain et désespérant.»
Les lecteurs de Pays Catalan Terre Vivante connaissent bien les épandages qui déversent dans les airs leurs poisons pour de multiples raisons. Il n'en sera évoqué ici qu’un seul, l’impact sur nos cultures.
La Coordination rurale annonce, je cite « … les perspectives de rendement sont extrêmement inquiétantes. La qualité des grains est inférieure aux normes ce qui provoque des réfactions et pour ne rien arranger, les producteurs doivent faire face à la concurrence des prix de la mer Noire contre laquelle ils ne peuvent pas lutter. La pluviométrie exceptionnelle ces derniers mois est une des explications de cette situation désastreuse ». Ce syndicat n’ose dénoncer ce qui se passe à la verticale de leurs champs, mais les chiffres tombent : « En moyenne, les producteurs français récoltent 30 % de céréales en moins par rapport à 2023. Dans le Gers, les céréaliers récoltent en moyenne entre 40 et 45 quintaux de blé à l’hectare, certains atteignent même péniblement les 30 quintaux contre 60/65 quintaux habituellement ».
À qui profite ce crime aérien ? La Coordination rurale pointe du doigt les bénéficiaires de ce meurtre écologique et réclame bien ingénument « la fin de la concurrence déloyale importée du Brésil, l’Argentine et de l’ineffable Ukraine » dont 45 % des terres agricoles appartiennent à Black Rock. Une sorte de « Désamortissement le retour » espagnol ou l’appropriation bolchevique des terres. Pour rappel, les principaux récipiendaires des accords MERCOSUR sont les grands fonds de pension et d’investissement atlantistes, Vanguard entre autres.
N’oublions pas que cette coterie anglo-américaine n’est pas à son premier forfait agricole puisque depuis son déversement volontaire des plants de vigne infestés de phylloxera et de l’exportation du Doryphore pour affamer l’Allemagne (la France a en fait les premiers frais dès le débarquement de ce fléau sur les quais de Bordeaux), elle ne cesse de détruire les rendements agricoles de leurs concurrents à travers le monde via le disséminement de maladies spécifiques à certaines cultures dans des zones cibles. Certains laboratoires du génie génétique sont dédiés à cette tâche. Il n’y a pas que le COVID dans la guerre virale.
Par le biais des OGM, elle s’approprie le vivant en le modifiant à son avantage monopolistique au travers du brevet et autres clauses contractuelles phytosanitaires. C’est une nouvelle forme d’esclavage. Beaucoup d’hindous se suicident chaque année comme nos deux paysans français au quotidien, victimes de cette variante portée à son paroxysme du caciquisme.
Je ne peux pas dire si les effets de cet épandage aérien actuel n’est qu’un effet secondaire d’un plan encore plus vaste du type HAARP, mais je constate qu’il impacte très sérieusement notre production céréalière et agricole en général (viticole, maraîchage, fructicole …).
Parmi tous nos bras cassés d’élus dont certains sont pourtant très proches des porteurs de pulls qui grattent, aucun ne dénonce ce qui se passe sous nous yeux. L’enjeu est pourtant de taille. Outre les chiffres déficitaires de notre balance commerciale, il en va de notre indépendance alimentaire (30 % actuellement), de la qualité des produits et de l’impact écologique voire sanitaire.
Cerise sur le gâteau, on respire tous les jours les retombées de ces épandages dont on ne sait que très peu de choses sur leurs compositions chimiques et les effets interactifs. Quel est donc l’impact réel et dramatique sur notre santé ?
En attendant, malgré la propagande du réchauffement climatique, la pluviométrie est catastrophique en volume et les températures sont basses, trop pour la saison. 9° à 7 heures du matin est une température anormale pour la saison même en Finistère où je réside.