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30 juin 2024

Qui dirige le monde...?

On entend souvent les gens dire "ils", quand ils parlent de ceux qui sont supposer nous diriger...
Mais qui est donc ce "ils"  ?
Et... existe-t-il réellement un "il"  ?


Vous cliquez d'un site internet à un autre, à la recherche de "ils", ou "il", l’homme caché derrière le rideau de la scène du théâtre "monde". Vous en avez vu assez pour être convaincu que tout ce qu’on vous a appris sur le monde est faux, et maintenant vous voulez trouver qui est vraiment responsable d’une telle imposture.

Dans un premier temps, votre recherche semble fructueuse. Vous découvrez que vous ne vivez pas vraiment dans une démocratie comme on vous l’a enseigné, c’est-à-dire un régime politique où le public influence le comportement du gouvernement par ses votes. Vous ne vivez pas non plus dans une nation souveraine distincte comme vous l’avez appris à l’école. Vous découvrez que votre pays fait partie d’une structure de pouvoir mondiale qui fonctionne effectivement comme un empire. L’empire le plus puissant qui ait jamais existé. Et vous découvrez que cet empire a des dirigeants qui ne sont pas redevables à l’électorat de quelque manière que ce soit, et qui agissent non pas pour promouvoir les intérêts du public, mais pour faire avancer leurs propres intérêts et leur agenda de domination planétaire.

Qui sont donc les hommes et les femmes qui nous gouvernent ?

On passe alors des heures à naviguer dans l'internet. Vous découvrez des agences gouvernementales secrètes avec des anciens fonctionnaires qui ne quittent pas leur poste avec le gouvernement officiel élu sortant, mais qui restent, aidant à faire tourner les rouages de l’empire indépendamment de la personne que les électeurs élisent pour servir de marionnettes sur la scène politique. Vous découvrez un système de portes tournantes dans lequel les mêmes gestionnaires de l’empire occupent tour à tour des postes au sein du gouvernement officiel élu, travaillant dans des groupes de réflexion, des conseils consultatifs du complexe militaro-industriel et des médias de masse lorsque leur parti n’est pas au pouvoir, puis revenant à leur poste lorsque leur tour est venu. Vous découvrez des ploutocrates qui utilisent leur immense richesse pour influencer la politique gouvernementale par le biais de dons de campagne, de groupes de réflexion influents, du contrôle des médias et du lobbying d’entreprise, qui opèrent souvent avec un nombre considérable de chevauchements avec les agences gouvernementales (dont ils sont les premiers bénéficiaires). Vous découvrez des organisations et des institutions au sein desquelles les riches et les puissants se rassemblent et se coordonnent pour faire avancer leurs programmes, souvent dans le plus grand secret, mais parfois sans se cacher.
Mais dans toutes ces recherches et découvertes, on ne trouve toujours pas l’homme qui est caché derrière le rideau. Vous vous rendez compte que n’importe laquelle des personnes que vous avez observées pourrait mourir demain et que la machine impériale continuerait à fonctionner de manière ininterrompue. Il pourrait y avoir une révolution violente géante et ces gens pourraient être guillotinés par milliers, et à moins que des changements radicaux ne soient apportés aux systèmes qui les ont fait naître, quelqu’un d’autre prendrait leur place.
C’est ainsi que l’on commence à faire des recherches sur les systèmes. Vous commencez à étudier les systèmes économiques, les systèmes financiers, la manière dont les ressources sont distribuées, dont l’argent est alloué, dont la main-d’œuvre est exploitée, dont la richesse est extraite. On en vient à découvrir comment notre civilisation a été transformée en une gigantesque machine à produire des richesses pour une classe de riches exploiteurs, à l’aide de la propagande, des lois sur la propriété, de la pénurie artificielle, de l’appropriation des biens communs et du vol des populations indigènes, le tout articulé autour de ce concept d’argent inventé qui se traduit directement en pouvoir politique dans le cadre de nos systèmes actuels.
Les personnes les plus aptes à obtenir des quantités massives de richesse/pouvoir sont celles qui manquent suffisamment d’empathie pour faire tout ce qu’il faut pour l’obtenir. Nous nous retrouvons donc naturellement gouvernés par des psychopathes. Et nous le serons toujours, jusqu’à ce que ces systèmes changent.
Vous creusez alors encore plus profondément. Vous découvrez qu’on ne vous a pas seulement donné de fausses informations sur le fonctionnement des gouvernements et des nations, mais qu’on vous a aussi donné de fausses informations sur vos hypothèses les plus fondamentales concernant la réalité. Et vous voilà projeté au fond de la caverne de Platon, où tout n'est qu'illusion.
Par votre propre expérience, vous découvrez alors qu’il n’existe pas de moi séparé. Que ce que nous appelons linguistiquement “je” et “moi” sont des illusions psychiques qui sous-tendent la plupart des souffrances et des dysfonctionnements de l’espèce humaine.
En réalité, les êtres humains sont inséparables les uns des autres, et inséparable de la biosphère dont ils sont issus, laquelle est à son tour inséparable de l’univers dont elle est issue, lequel est à son tour inséparable du Big-Bang ou de tout ce qui a existé dont il est issu. Tout est un, et le Moi est une illusion.
Et vous réalisez que c’est également le cas de tous les oligarques et gestionnaires d’empire que vous avez observés. Ils ne sont pas des entités distinctes agissant dans le monde, mais des reflets de conditionnements et de traumatismes qu’ils ont hérités de leurs ancêtres, transmis par leur héritage évolutif du chaos et de la confusion inhérents à l’existence en tant que petites choses qui marchaient sur la terre il y a des millions d’années. Ils ne sont que des tourbillons dans une mer d’énergie ineffable comme n’importe qui d’autre, somnambules dans la vie, fouettés par des forces inconscientes à l’intérieur d’eux-mêmes qu’ils ne comprennent pas.
Vous réalisez alors qu’il n’y a pas d’homme caché derrière le rideau, et qu’il n’y en a jamais eu. Vous avez écarté rideau après rideau dans l’espoir de trouver l’homme, et tout ce que vous avez trouvé, c’est un trou en forme d’homme dans l’univers.
Et vous n’êtes même pas en colère. En fait, vous trouvez cela hilarant. Vous riez et vous riez de la bêtise de tout cela. Vous riez du sérieux avec lequel nous prenons tous ce jeu de séparation et d’inimitié, et du sérieux avec lequel vous le preniez quelques instants auparavant. Vous riez de l’innocence finale de chacun d’entre nous, même des pires d’entre nous. Vous riez de notre gentillesse. Vous riez de ce jeu de formes. Et l’univers rit à son tour. Un bouddha rieur, riant d’un univers fait de bouddhas rieurs.
Et vous voyez, en essuyant les larmes sur votre visage, que tout se déroule comme il se doit. L’univers devient de plus en plus capable de se percevoir lui-même. D’abord avec la vie, puis avec les humains, puis avec les progrès constants de la science, de la technologie, de la psychologie et de l’éveil. Et il n’y a aucune raison de penser que cette explosion infinie de la perception s’arrêtera. Nous finirons par comprendre. La conscience continue de s’étendre. La lumière devient de plus en plus vive. La vérité ne peut se cacher plus longtemps.


Il est indispensable de bien comprendre l'architecture de nos sociétés et d'analyser leur fonctionnement pour élaborer une critique sans concession des pouvoirs en place et agir... 





27 juin 2024

Croyances climatiques…?

Manipulations, climat, transitions et théorie fallacieuse...?

Le capitalisme vert atteindra son paroxysme grâce à la mise en place de la transition écologique et énergétique.
Nos esprits y sont largement préparés à grand renfort de manipulations subtiles sur la production de CO2 masquant les réalités des destructions de la Nature.
Le changement climatique actuel n'est que la continuité des changements climatiques depuis des millénaires. En admettant que les activités humaines participent à ce changement climatique, face à l'immensité des causes cosmiques, la cause anthropique ne peut être qu'une goutte d'eau dans un océan*.

Rappel des données actuelles sur le CO2

  •  La teneur en CO2 de l'atmosphère est de 0,04%
  •  Les humains sont responsables de 3% de ces 0,04% soit 0,0012%
  •  La France représente 0,9% de ces 0,0012% soit 0,0000108%
  •  Ne pas oublier qu'en dessous de 0,03% de CO2, la vie disparaît sur Terre…

Prétendre que la cause anthropique représenterait 90% de la modification du climat est d'une arrogance et d'une prétention incroyable. Il ne peut s'agir que d'un mensonge de plus pour dissimuler des intérêts économiques.
N'oublions pas que cette théorie du changement climatique est fallacieusement associée à la destruction de la biodiversité alors que cette destruction est liée à la surexploitation marchande de la Nature.
En réalité, ce n'est pas le changement climatique "anthropique" qui détruit la Nature mais c'est la destruction de la Nature qui interagit avec le climat.
L'activité humaine responsable des modifications climatiques n'est pas celle qui est avancée dans les mensonges d'Etat.

Qui sont les véritables responsables ?

  •  Les apprentis sorciers qui manipulent le climat avec la géo-ingénierie (armes météorologiques, chemtrails, armes à énergie dirigée, Système HAARP).
  •  Et surtout, les criminels qui font du profit en surexploitant la Nature jusqu'à la détruire.

Sources et références :

  1. Ingénierie climatique ou arme fatale des apprentis-sorciers...?

Un documentaire qui ne montre peut-être que la partie visible de l'iceberg.
Les vraies raisons des manipulations du climat présentées dans ce documentaire sont manifestement ailleurs que dans une soit-disant lutte contre le réchauffement climatique.
Les objectifs sont certainement militaires, puisque cette technologie est entre les mains des militaires. Il s'agit d'armes destinées à détruire des pays entiers sous couvert de lutte contre le changement climatique.

Ces armes sont capables, par exemple :
  • de réchauffer l'atmosphère
  • de provoquer des sécheresses
  • de provoquer des inondations
  • de déclencher des tornades et des ouragans...

En résumé, l'arme climatique a été créée à des fins militaires, et non pour combattre le réchauffement climatique comme aujourd'hui on voudrait nous le faire croire...

     2. Climat: le film La vérité à froid - Sous-titré Français

Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO2 atmosphérique sont inhabituellement hauts et inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire de la Terre, les températures actuelles et les niveaux de CO2 sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO2 (ils ont changé à plusieurs reprises) ait jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé.

  • Pourquoi alors nous répète-t-on sans cesse que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ?
  • Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ?
  • Pourquoi dit-on que quiconque remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ?

Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance de l’industrie climatique qui pèse des milliers de milliards de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social.

Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi. Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de libre marché. La solution était des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important.

C’est la division politique tacite qui se cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat séduit particulièrement tous les membres de l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela inclut l’intelligentsia occidentale largement financée par l’État, pour qui le climat est devenu une cause morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en question l’alarme climatique est devenu une violation de l’étiquette sociale.

Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Willie Soon et plusieurs autres.

Réalisateur :
Écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin et Tom Nelson.
Il est la suite de son excellent documentaire de 2007 The Great Global Warming Swindle (La grande escroquerie du réchauffement climatique).
Producteur :
Tom Nelson, qui examine en profondeur les questions du débat climatique depuis près de deux décennies.



Pays Catalan Terre vivante


 

26 juin 2024

2G 3G 4G 5G…?

 

Tout savoir sur les ondes émises
par votre téléphone et les antennes


Depuis l'apparition de la téléphonie mobile, les réseaux utilisés n'ont cessé d'évoluer pour proposer une qualité de service toujours plus grande.

Qu'est-ce qu'un réseau de téléphonie mobile ?

Un réseau de téléphonie mobile est un réseau d'antenne qui communiquent avec des faisceaux d'ondes électromagnétiques. Ces antenne émettent en continu les ondes qui permettent un usage simultané d'un grand nombre de téléphones portables ou d'appareil connectés via une carte SIM. C'est ce réseau d'antenne qui permet la communication téléphoniques, mais aussi les transmissions de données pour naviguer sur internet.

La technologie radio utilisée vise à partager un spectre d'ondes entre de multiples usagers (émission-réception), eux-mêmes répartis dans différentes cellules radio en fonction de leur situation géographique. Ainsi, pour communiquer depuis un téléphone portable, il faut se trouver à portée d'une antenne-relais investie par votre opérateur mobile de sorte à réceptionner un signal radio suffisamment puissant.

La qualité du signal est représentée par de petites barrettes généralement situées en haut à droite sur l'écran de votre mobile. Ces dernières sont accompagnées d'un signe correspondant à la technologie réceptionnée par votre téléphone sur le territoire où il est utilisé (H+, Edge, 3G, 4G...).

Quand un appel est émis depuis un téléphone portable, celui-ci recherche prioritairement l'antenne-relais de son opérateur la plus proche afin d'établir une liaison radio. Le procédé est identique lors de la réception d'un appel, à la différence près que c'est l'antenne-relais et non plus le mobile qui prend l'initiative de la liaison. Pour cela, l'opérateur a besoin de savoir dans quelle cellule du réseau se trouve le destinataire de l'appel. A cette fin, les téléphones portables "se signalent" en permanence au réseau.

   L'apparition des réseaux mobiles pour le grand public a constitué un bouleversement majeur dans les systèmes de communication puisqu'il a permis de téléphoner et de se déplacer en même temps. Toutefois, plus l'utilisateur s'éloigne de l'antenne la plus proche, plus la qualité de la transmission en pâtit. Afin de remédier à ce désagrément, le mobile évalue continuellement la qualité des signaux se trouvant à proximité. En dessous d'un certain seuil, celui-ci peut alors basculer la liaison vers une autre antenne de l'opérateur, plus proche ou moins surchargée. On appelle ce procédé un transfert intercellulaire.


Technologies mobile et fréquences radio utilisées.

Sur les premiers téléphones mobiles, de 1982 à 2001, le téléphone mobile n'utilisait qu'une seule technologie d'ondes radio.  

Aujourd'hui, votre téléphone mobile utilise 4 technologies basées sur les réseaux cellulaires d'antennes, à savoir :

 • le GSM (Global System for Mobile Communications), aussi appelé 2G (deuxième génération) : il utilise les bandes de fréquences comprises entre 900 MHz et 1800 MHz. Dans sa forme la plus aboutie (EDGE) son débit se limite à 200Kb/s.
 • l'UMTS (Universal Mobile Telecommunications System), aussi appelé 3G (troisième génération) : plus performant que le GSM dans le traitement du signal, l'UMTS peut fournir des débits allant jusqu'à 40Mbits/s avec le H+ qui en est la version la plus récente. L'UMTS utilise des bandes de fréquences comprises entre 900 MHz et 2100 Mhz.
  • le LTE (Long Term Evolution), aussi appelé 4G (quatrième génération). Cette technologie, actuellement la plus répandue, offre des débits jusqu'à 6 fois supérieurs à la 3G dans sa déclinaison la plus moderne (4G+). Elle utilise les fréquences 2600 MHz, 1800 MHz, 700 MHz et 800 MHz. Cette dernière était auparavant employée par la télévision analogique, aujourd'hui disparue au profit de la TNT.
  • La 5G, qui est développée depuis quelques années et dont les premiers forfaits ont été lancés fin 2020. Cette technologie représente les plus gros investissements en ce moment des opérateurs telecom. La principale bande de fréquence de la 5G est la bande 3.5 Ghz, mais les bandes 700 Mhz et 2100 Mhz peuvent être également utilisées. Les débits de la 5G peuvent, en théorie, dépasser les 1 Gbit/s.

Détail des réseaux mobile par génération.

Le réseau 1G (n'existe plus)
Il s'agit de la toute première génération de réseau mobile, déployée en France dès 1986. Du nom de Radiocom 2000, le réseau était l'oeuvre et la propriété de France Télécom. La 1G était accessible par le biais de téléphones analogiques transportables, essentiellement intégrés aux voitures. Avant qu'il ne cesse d'être utilisé, le réseau Radiocom 2000 rassemblait environ 60 000 clients.

Le réseau 2G
Déployé en 1982 et toujours actif, la 2G est actuellement le réseau le plus étendu en France avec plus de 99% de couverture territoriale sur l'ensemble des opérateurs (il représente le passage de l’analogique au numérique).

La 2G est suffisante pour appeler et envoyer des SMS voire des MMS légers. Le réseau 2G est par ailleurs précurseur dans le transfert de données par paquets. Les débits généralement observés en 2G sont de 9.6Kbits/s, loin des standards modernes.

 Le réseau GPRS
 Le réseau GPRS (General Packet Radio Service), aussi appelé 2,5G, offre une amélioration notable en matière de débit par rapport à la 2G (171,2Kbits/s théorique, 40Kbits/s généralement en pratique). Le standard GPRS est précurseur sur l'internet mobile.

 Il permet aussi de facturer l'utilisateur au volume échangé plutôt qu'à la durée de connexion, pour rester connecté sans surcoût. Le GPRS et la 2G sont diffusés sur les bandes de fréquences 900 MHz et 1800 MHz.

 Le réseau EDGE
 Évolution du GPRS, le réseau EDGE utilise en émission des bandes de fréquences comprises entre 876 MHz et 915 MHz, contre 921 MHz et 960 MHz en réception. Le réseau EDGE, aussi appelé 2,75G, a permis la transition entre la 2G et la 3G via des débits pouvant atteindre 384Kbits/s en théorie et 100Kbits/s en pratique.

 L'EDGE a été développé dans le but d'optimiser la partie radio du réseau mobile au niveau des données et d'améliorer les débits de téléchargements.

Évolution des réseaux mobiles vers les connexions internet

Le réseau 3G
Fonctionne sur les bandes de fréquences 900 MHz et 2100 MHz, la 3G est l'un des réseaux mobile les plus utilisés en France. En 2024, il présente une couverture territoriale allant de 92% à 96% selon les opérateurs. Avec un débit de 1,9Mbits/s, la 3G a démocratisé l'utilisation de l'internet mobile (navigation web et réseaux sociaux, envoi de mail, échange de photos...).

Sa mise en place à la fin des années 2000 coïncide d'ailleurs avec l'avènement des smartphones, qui offrent un meilleur confort de navigation et présentent une meilleure ergonomie que les téléphones portables classiques de l'époque.

Le réseau 3G+, H+ et H+ Dual Carrier
La 3G a connu trois améliorations successives avec la 3G+ (aussi appelée HSPA), le H+ (HSPA+) et le H+ Dual Carrier (DC-HSPA+). Il s'agit d'évolutions de l'UMTS visant à bénéficier de meilleurs débits : 3,6Mbits/s pour la 3G+, 5Mbits/s pour le H+ et 10Mbits/s pour le H+ Dual Carrier. Ces avancées ont permis d'aller plus loin dans les usages internet, avec la possibilité de visionner des vidéos instantanément, sans patienter le temps du chargement.

Le réseau 4G
Avec un débit théorique de 150Mbits/s et un débit pratique de 40Mbits/s, la 4G ou LTE (Long Term Evolution) donne aux usagers la possibilité de surfer à très grande vitesse. L'utilisation des bandes de fréquences dépend de l'opérateur : tous utilisent le 2600 MHz alors que seul Bouygues Telecom utilise la fréquence 1800 MHz. Le 800 MHz est employé par tous les opérateurs excepté Free, qui emploie le 700 MHz.

En France, le lancement de la 4G a débuté en 2013. Durant ses premières années, la 4G a constitué un argument de vente pour les opérateurs. Aujourd'hui, tous les opérateurs proposent des forfaits 4G. Sa couverture est d'ailleurs très complète et similaire à la 3G. La 4G permet de transférer des fichiers lourds, visionner des vidéos en HD, "live-streamer", etc.

Le réseau 4G+
Comme le GSM et l'UMTS, la norme LTE a connu des évolutions qui ont abouti au développement de la 4G+. Celle-ci offre des débits pouvant atteindre 1Gbit/s à l'arrêt et 100Mbits/s en mouvement. C'est Bouygues Telecom qui a pris les devants en se lançant dans la 4G+ dès juin 2014, avant qu'Orange ne lui emboîte le pas un mois plus tard. Chez SFR, l'ouverture à la 4G+ a dû attendre octobre 2014. Le déploiement de la 4G+ a suivi chez Free. Aujourd'hui, toutes les zones urbaines de France sont bien couvertes par la 4G+

Le réseau 5G
La 5G est arrivée sur le territoire entre 2018 et 2020, pour commencer à être exploitée par les premiers forfaits compatibles fin 2020. C'est aujourd'hui, en 2024, la génération de réseau vers laquelle sont portés tous les projecteurs.

Ses débits théoriques pourraient atteindre 20 Gbit/s sur les bandes de fréquence les plus performances (bande 24-27 Ghz, bien que celle-ci ne soit pas employée par les réseaux mobiles). On compte environ 31 000 antennes 5G mises en service en France à l'heure actuelle (mai 2024).

La 5G

L'arrivée de la cinquième génération de réseau mobile (5G) marque une nouvelle étape dans l'évolution des réseaux mobiles. Les Sud-Coréens se sont lancés les premiers dans l'aventure dès 2018 lors des Jeux Olympiques d'hiver de PyeongChang, en proposant la 5G aux sportifs et aux journalistes présents dans le parc olympique.

En France, l'ARCEP avait donné son aval à Orange pour mener rapidement de premières expérimentations. Les premiers smartphones compatibles 5G ont été commercialisés dès 2019, alors que les fondations du réseau ont vu le jour l'année suivante.

La 5G offre des débits nettement supérieurs à la 4G+, pouvant en théorie atteindre jusqu'à 20Gbits/s. De quoi permettre de nouveaux usages : généralisation de la UHD (Ultra Haute Définition), voitures autonomes, télémédecine... Elle permettra de connecter simultanément un très grand nombre d'objets, ce qui accélérera notamment le développement du secteur de la domotique.



Pays Catalan Terre vivante


 

14 juin 2024

La résistance clandestine durant la dictature sanitaire 2020-2022

La réflexion autour du
thème de l'Éco-Festival 2024
pour en préciser les contours
est toujours en cours.

Parler de la résistance clandestine
peut participer à cette réflexion…

Les trois précédents articles autour de la "résistance" nous ont permis de repérer différentes formes d'oppositions que l'on peut rencontrer dans un pays dit "démocratique" (1 2 3). 

Nous abordons ici la forme ultime de la résistance. Celle qui agit dans la clandestinité. On pense bien sûr à la seconde guerre mondiale et la résistance française organisée en réseaux clandestins, sous l'impulsion du général De Gaulle exilé à Londres. On comprend bien que cette résistance ne pouvait qu'être clandestine, sans quoi le régime de Vichy au pouvoir durant cette période aurait fait arrêter et condamner les résistants. 

Si on regarde l'Histoire, les temps de résistances clandestines ne manquent pas. On comprend aussi que la clandestinité est une condition indispensable pour aboutir à la victoire d'une opposition. Si l'activisme clandestin échappe à la répression frontale (forces de l'ordre), contrairement aux mouvements qui organisent des manifestations "autorisées"… le résistant clandestin se place hors la loi. Il échappe à la matraque dans la rue, mais il prend le risque de se voir infliger des condamnations en justice, si ces actions clandestines sont découvertes. 

Venons en à la plandémie C0VlD…

Avec une obligation vaccinale qui ne protégeait finalement pas de ce pourquoi elle était imposée, selon l'aveu des psychopathes qui en sont à l'origine.

En France, au tout début, la peur imposée par les discours politico-scientistes on terrassé (presque) toute la population. Cependant, une minorité dotée d'un solide esprit critique et moins hypocondriaque a très vite compris la mise en scène sans véritables fondements scientifiques. Cette minorité a commencé à exprimer son opposition, immédiatement réprimée par les instances du pouvoir.

Très vite, un vaccin est annoncé, puis imposé à la population toujours majoritairement consentante. Il s'agissait probablement moins d'une mesure sanitaire que d'une expérience d'ingénierie sociale destinée à mesurer le degrés de soumission de la population. D'aucuns parlent aussi de malveillance caractérisée… L'opposition à cette vaccination représentait une menace pour le pouvoir : l'échec managérial d'une opération supervisée par le cabinet international de conseil en stratégie McKinsey & Company. C'est alors que la "dictature sanitaire" a franchi une ligne rouge : interdire le travail et le salaire aux opposants qui refusaient de se soumettre à l'obligation vaccinale. 

L'obligation vaccinale a fait naitre 2 types de résistants :

Les plus déterminés ont persisté dans l'opposition assumée. Des soignants, des médecin aux infirmiers en passant par les brancardiers et les personnels administratifs, ont été "suspendus", privés de leur travail et surtout du salaire. Quel courage ! direz-vous ? Oui, mais c'est aussi suicidaire, autant pour chaque individu qui a refusé la vaccination que pour l'institution médicale qui s'est trouvée amputée d'une partie des soignants. C'est un peu la résistance du taureau dans l'arène évoquée dans un précédent article.

C'est là qu'une résistance clandestine s'est rapidement installée. Des médecins et d'autres soignants habilités à vacciner ont choisi de se mettre hors la loi et sont entrés dans la clandestinité. Ils ont permis aux personnes opposées au vaccin d'obtenir le "pass sanitaire" exigé par les autorités en faisant une fausse déclaration de vaccination.
Cette situation est compliquée, car elle exige une parfaite complicité dans l'illégalité commise… Voila un "non vacciné" qui se trouve avec un statut de vacciné…ce qui est parfait pour se rendre à son travail, aller au cinéma, au restaurant et dans tous les lieux interdits aux non vaccinés… Cependant, il y a un hic… car aux yeux de ses amis et proches non vaccinés, le "faux vacciné" se trouve dans une situation ingérable : il les a trahis, et sortir de cette trahison n'est possible qu'en en commettant une autre… trahir le complice auteur de la fausse déclaration…
Et on peut en dire autant des faux vaccinateurs, face à leurs proches opposés à cette vaccination…

Obligation vaccinale infondée, illégitime et illégale. 

Les oppositions à la vaccination se sont avérées fondées quelques mois plus tard, après plusieurs doses injectées et l’apparition d'effets indésirables délétères. Quand la question de la protection contre la transmission a été posée au fabricant du vaccin, la réponse est tombée comme une bombe au milieu de la place publique : 

"la protection contre la transmission n'a pas été testée, ce n'est pas le but du vaccin".

La réalité est venue confirmer que cette protection n'existait pas, que les personnes vaccinées n'étaient pas plus protégées que les autres, ni moins contagieuses. 

Se pose également la question de la légalité d'une obligation d'injecter un produit en phase expérimentale dans le corps d'une personne qui, de plein droit, doit donner son consentement éclairé…

Pour autant, en France, le pouvoir politique refuse de reconnaitre la réalité, et persiste dans les campagnes de vaccination. Seule l'obligation a été abolie… mais sans effet rétroactif pour les salaires perdus des suspendus… 

La résistance clandestine a probablement gagné une bataille de taille, mais la guerre (comme l'a dit le chef d’État) n'est pas encore gagnée. Les résistants clandestins et les faux vaccinés sont à ce jour toujours considérés hors la loi…

La question aujourd'hui, c'est de savoir comment aider les clandestins hors la loi à sortir de cette inextricable situation cornélienne…


Loup Rebel

10 juin 2024

Réflexions…

Bulletin N°37 - janvier-février 2010

Cet article fait remonter une tribune libre publiée sur le bulletin de Vallespir Terres Vivantes N° 37, de janvier/février 2010.
Question : est-il toujours d’actualité en 2024… ?

Détricotons * …
… le réchauffement climatique !

Au moment du sommet de Copenhague,  j'ai été perturbée par le discours tenu par des scientifiques "dissidents" au sujet du changement climatique. Il remet en cause l'origine anthropique du réchauffement dû aux activités humaines.
J'ai réécouté, entre autres, le discours de Vincent Courtillot, je ne citerai que quelques éléments :
  • Le réchauffement existe mais de faible amplitude et variable suivant les régions.
  • Il n'a pas été démontré que le réchauffement était dû au C02.
  • La modélisation des experts du GIEC (Groupe inter-gouvernemental sur l'évolution du climat) ne prend pas en compte toutes les données et en particulier l'action des taches solaires (activité solaire), de la vapeur d'eau (nuages) et des rayons cosmiques.
 Donc, dans cette science jeune, affirmer que le réchauffement est dû à 90% aux activités humaines est une déduction hâtive.
J'ai adhéré pendant des années à cette thèse du réchauffement  anthropique… et cela justifiait certaines de mes actions et prises de position.
Qu'en est-il ?
Qu'est ce que ça change ?
En affinant ma réflexion je vois bien que ça ne remet nullement en cause mon engagement à dénoncer la pollution, la perte de la biodiversité, la destruction de nos ressources… et à proposer des solutions alternatives.
Il ne faut pas confondre le débat sur le changement climatique avec le débat sur notre responsabilité dans la destruction de la nature.

Cette confusion occulte les vraies causes de la destruction. Le climat, c’est l’arbre qui cache la forêt…

Cela aide à mieux comprendre que le problème est ailleurs, il est dans notre système fou de production et de consommation. Nous devons modifier nos comportements parce que le bon sens nous le demande et non pas parce qu'on nous fait peur ou on nous culpabilise de participer au changement climatique en produisant du C02…

Il me parait important de ne pas étouffer la voix des contestataires. Leur analyse m'incite et m'aide à "détricoter" le fil des liaisons dangereuses, celui des financiers, des groupes de pression qui essaient de gagner de l'argent avec des théories et des technologies qui visent à alimenter leur bourse :

  • Augmentation du pouvoir réfléchissant des nuages par la pulvérisation d'eau salée dans l'atmosphère (afin d'augmenter la condensation des gouttes d'eau des nuages et donc de « blanchir » ces derniers).
  • Mise en orbite d'un pare-soleil planétaire (constitué d'innombrables petits miroirs) pour dévier une partie du rayonnement solaire.
  • La Royal Society évoque la diffusion dans la stratosphère de particules sulfatées renvoyant dans l'espace une partie de la lumière du soleil.
  • Pour ralentir la fonte des glaces de l'Arctique, M. Mac Cracken recommande l'injection d'aérosols à base de sulfates dans la stratosphère surplombant l’Arctique.
Nos discussions, avec certains, se poursuivent sur ce sujet. Réchauffement anthropique ou pas, cela ne met nullement en cause nos engagements qui sont dans des propositions alternatives aux modes de production et de consommation…

Je vous renvoie à la vidéo de Paul Ariès, dans laquelle il explique "la foi béate dans le progrès et les 3 niveaux de résistances".

Si la vidéo ne fonctionne pas, cliquer ici :
Décroissance par Paul Aries – 2-2


Anny      

*On détricote quand on cherche à comprendre le "faux" qui peut se cacher derrière ce qu’on nous présente comme une "vérité".



Chronique de la Naïve

 

07 juin 2024

Sentinelles de la plage

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