La réflexion autour du
thème de l'Éco-Festival 2024
pour en
préciser les contours
est toujours en cours.
Parler de la résistance clandestine
peut participer à cette
réflexion…
Les trois précédents articles autour de la "résistance" nous ont permis de repérer différentes formes d'oppositions que l'on peut rencontrer dans un pays dit "démocratique" (1 2 3).
Nous abordons ici la forme ultime de la résistance. Celle qui agit dans la clandestinité. On pense bien sûr à la seconde guerre mondiale et la résistance française organisée en réseaux clandestins, sous l'impulsion du général De Gaulle exilé à Londres. On comprend bien que cette résistance ne pouvait qu'être clandestine, sans quoi le régime de Vichy au pouvoir durant cette période aurait fait arrêter et condamner les résistants.
Si on regarde l'Histoire, les temps de résistances clandestines ne manquent pas. On comprend aussi que la clandestinité est une condition indispensable pour aboutir à la victoire d'une opposition. Si l'activisme clandestin échappe à la répression frontale (forces de l'ordre), contrairement aux mouvements qui organisent des manifestations "autorisées"… le résistant clandestin se place hors la loi. Il échappe à la matraque dans la rue, mais il prend le risque de se voir infliger des condamnations en justice, si ces actions clandestines sont découvertes.
Venons en à la plandémie C0VlD…
En France, au tout début, la peur imposée par les discours
politico-scientistes on terrassé (presque) toute la population. Cependant,
une minorité dotée d'un solide esprit critique et moins hypocondriaque a
très vite compris la mise en scène sans véritables fondements scientifiques.
Cette minorité a commencé à exprimer son opposition, immédiatement réprimée
par les instances du pouvoir.
Très vite, un vaccin est annoncé, puis imposé à la population toujours majoritairement consentante. Il s'agissait probablement moins d'une mesure sanitaire que d'une expérience d'ingénierie sociale destinée à mesurer le degrés de soumission de la population. D'aucuns parlent aussi de malveillance caractérisée… L'opposition à cette vaccination représentait une menace pour le pouvoir : l'échec managérial d'une opération supervisée par le cabinet international de conseil en stratégie McKinsey & Company. C'est alors que la "dictature sanitaire" a franchi une ligne rouge : interdire le travail et le salaire aux opposants qui refusaient de se soumettre à l'obligation vaccinale.
L'obligation vaccinale a fait naitre 2 types de résistants :
Les plus déterminés ont persisté dans l'opposition assumée. Des soignants,
des médecin aux infirmiers en passant par les brancardiers et les personnels
administratifs, ont été "suspendus", privés de leur travail et surtout du
salaire. Quel courage ! direz-vous ? Oui, mais c'est aussi
suicidaire, autant pour chaque individu qui a refusé la vaccination que pour
l'institution médicale qui s'est trouvée amputée d'une partie des soignants.
C'est un peu la résistance du
taureau dans l'arène
évoquée dans un précédent article.
C'est là qu'une résistance clandestine s'est rapidement installée. Des
médecins et d'autres soignants habilités à vacciner ont choisi de se mettre
hors la loi et sont entrés dans la clandestinité. Ils ont permis aux
personnes opposées au vaccin d'obtenir le "pass sanitaire" exigé par les
autorités en faisant une fausse déclaration de vaccination.
Cette
situation est compliquée, car elle exige une parfaite complicité dans
l'illégalité commise… Voila un "non vacciné" qui se trouve avec un statut de
vacciné…ce qui est parfait pour se rendre à son travail, aller au cinéma, au
restaurant et dans tous les lieux interdits aux non vaccinés… Cependant, il
y a un hic… car aux yeux de ses amis et proches non vaccinés, le "faux
vacciné" se trouve dans une situation ingérable : il les a trahis, et sortir
de cette trahison n'est possible qu'en en commettant une autre… trahir le
complice auteur de la fausse déclaration…
Et on peut en dire autant
des faux vaccinateurs, face à leurs proches opposés à cette vaccination…
Obligation vaccinale infondée, illégitime et illégale.
Les oppositions à la vaccination se sont avérées fondées quelques mois plus tard, après plusieurs doses injectées et l’apparition d'effets indésirables délétères. Quand la question de la protection contre la transmission a été posée au fabricant du vaccin, la réponse est tombée comme une bombe au milieu de la place publique :
"la protection contre la transmission n'a pas été testée, ce n'est pas
le but du vaccin".
La réalité est venue confirmer que cette protection n'existait pas, que les personnes vaccinées n'étaient pas plus protégées que les autres, ni moins contagieuses.
Se pose également la question de la légalité d'une obligation d'injecter un
produit en phase expérimentale dans le corps d'une personne qui, de plein
droit, doit donner son consentement éclairé…
Pour autant, en France, le pouvoir politique refuse de reconnaitre la réalité, et persiste dans les campagnes de vaccination. Seule l'obligation a été abolie… mais sans effet rétroactif pour les salaires perdus des suspendus…
La résistance clandestine a probablement gagné une bataille de taille, mais
la guerre (comme l'a dit le chef d’État) n'est pas encore gagnée. Les
résistants clandestins et les faux vaccinés sont à ce jour toujours
considérés hors la loi…
Loup Rebel |
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